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Un circuit de 9,5Km qui croise le sentier d'interprétation, le sentier GR3, et la boucle des lavoirs 15 Km.
Départ du Restaurant.
le sentier longe la Loire
Aujourd'hui je suis accompagné de toute une famille.
Au bout du chemin, on traverse la Boire des Groseilliers.
Boire des Groseilliers
Après avoir traversé "la Prée", on monte vers Chauvigné.
Chapelle du Manoir de Chauvigné
Le manoir de Chauvigné doit son nom à une villa romaine "Calvinius" (la villa du chauve). Elle fut détruite par les normands.
Le manoir construit près des ruines de cette villa est devenue une véritable place forte au Xéme siècle.
Au XVéme, le manoir appartient à la famille des Aubiers.
La chapelle date de 1515, elle est dédiée à Sainte Marguerite.
Au XVII, la famille Tremblier de la Varenne construit la partie centrale.
La famille de Tremblier possédait un bel hôtel, rue du Canal à Angers. L'un des derniers représentants de cette famille y eut une relation avec une femme de petite vertu. Cette vie dissolue serait à l'origine des personnages de l'abbé Prevost "Manon Lescaut et le Chevalier des Grieux".
en face du manoir.
Un peu plus haut dans la rue, le Grand Launay et ses jardins.
Rendez-vous des Jardins.
Bâtiment du XVIIé, puits du XVé
une rue de Chauvigné
un arrêt pour une partie de boule de fort ?
Sur la route de Perchard, ça gratouille...
Perchard
Direction Ma Campagne
Traversée d'une boire.
Arrivée en vue de Saint-Rémy la Varenne.
on longe le village.
jusqu'au lavoir de Rochereau
du lavoir, belle vue sur St-Rémy et St-Mathurin au loin et...
on continu de grimper vers Rochereau.
Moulin de Rochereau
A Boissay, on croise le GR3 et la boucle des Lavoirs
Puis c'est la descente vers St-Jean et la Loire
Ancienne chapelle.
devenue Propriété privée
descente vers la Boire St-Jean
puis c'est la Grande Île, avec le circuit d'interprétation.
reste à passer sous le pont pour fermer la boucle.
Avant de partir.
Cette fois il est l'heure de rentrer.
D'autres photos dans l'album Saint Rémy la Varenne boucle de Loire.
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Selon la légende la passiflore doit son nom à Jacomo Bosio, un moine scolastique italien, qui pour illustrer son traité consacré à la croix et au calvaire du Christ, prit pour modèle une fleur fabuleuse apportée par un moine mexicain Emmanuel de Villegas.
Cette fleur est supposée rappeler la Passion du Christ.
Les 72 filaments au centre représenteraient la couronne d'épine
(72 étant le nombre supposé d'épines qui ornaient la couronne du Christ).
Le pistil avec ses trois styles représenterait les trois clous de la crucifixion.
Les cinq étamines teintées de rouge symboliseraient les cinq plaies.
La feuille à la pointe aiguë serait la lance.
Et les taches rondes foncées sur la face inférieure de la feuille, les 30 pièces d'argent que Judas reçut pour avoir trahi Jésus.
En fait, la première mention de cette plante date de 1553, elle est décrite par Pedro Cieza de Leon.
20 ans plus tard, le médecin botaniste Nicolas Monardes en fera une description plus détaillée. Il sera le premier a employer le terme de "Flos de passionis".
Il faudra attendre 1628 pour que Federigo Cesi, la nomme Passiflore.
La passiflore aurait des vertus thérapeutiques
Les feuilles en cataplasmes pour soigner les blessures et les ecchymoses.
Le jus du fruit, pour soigner les douleurs oculaires.
Les feuilles broyées avaient la réputation de soulager les hémorroïdes, les brûlures et les éruptions cutanées.
Utile contre l'insomnie, les états nerveux (angoisse, hystérie, palpitations), la neurasthénie, l'excitation cérébrale,
Antispasmodique et anodine, elle soulage les névralgies.
Ses propriétés anxiolytiques semblent sur la voie d'être confirmées.
Elle serait notamment utile pour soigner l'extrême anxiété causée par le sevrage du cannabis, des opiacées ou de l'alcool.
Mais attention, il y a plus de 530 espèces et toutes ne sont pas comestibles
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