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L'église Saint Aubin est de type néogothique angevin, elle a été construite grâce aux dons de Madame de Las Cases en 1879.
le tympan représente un bon Pasteur entouré de ses brebis.
Au dessus une grande rosace éclaire la nef.
La nef, le transept et le choeur sont recouverts de voûtes angevines, avec nervures à simple tore.
Les clefs de voûte représente les médaillons de la papauté, de l'évêque d'Angers et de la famille de Las Cases.
La nef est éclairée par de hautes fenêtres.
Les vitraux du choeur sont éclairés par le soleil de midi.
Ils ont été réalisés par Magnen, Clemens et Bordereau d'Angers
entre 1881 et 1882.
Ils représentent à gauche:
Saint Aubin guérissant les paralytiques.
au centre:
le Sacré-Coeur.
à droite:
Saint-Pierre et Saint Michel
(offert par la famille Guittard-Gaignard en 1881).
Transept nord.
Il est dédié à la vie de Sainte Elisabeth de Hongrie
Transept sud
Dédié à la vie de la sainte Vierge.
C'est un don du marquis Jean François Emmanuel de Cambolas
et de son épouse
Marie Sarah de Gaër de Boisjolin.
Plusieurs éléments remarquables complètent les trésors de cette églises.
Tableaux de Mercier d'Angers
1836
Saint Nicolas, réalisant son miracle. Il ressuscite les trois enfants tués par le boucher.
Sainte Geneviève tenant à la main le cierge qu'un ange vient de rallumer.
Saint-Aubin Saint Fiacre
évêque d'Angers patron des jardiniers
Saint Vincent Vierge à l'enfant.
le chaire
Jeanne d'Arc
le maître autel
chapelles latérales
Le clocher avec sa flèche de 40m est visible de plus de 29 paroisses.
Elle est en pierre. Octogonale, avec des lucarnes.
Intérieur de la flèche
Edma Elisabeth ou Renée Geneviève ?
le clocher
les entrailles de la nef.
au fond le presbytère et son Séquoia géant.
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.... 14 rue Pocquet de Livonnières.
Construit pour un maire d'Angers, avocat au siège du Présidial, François Bitault, seigneur de la Raimberdière cet hôtel tient son nom de la famille Pissonnet de Bellefonds de Lancreau qui le racheta en 1747.
Dans les années 1540, Jean Delespine introduisit le style "Seconde Renaissance angevine". C'est ce style que Philibert Delorme (architecte du château de Serrant) utilisa pour la construction du premier logis.
Par la suite, l'exubérance ornementale de la Renaissance a fait place à l'austérité annonçant le classicisme.
L'intérêt principal du bâtiment est sa cheminée richement ornementée. D'inspiration antique, elle porte deux tablettes gravées de sentences grecques, rappellant la sagesse et la culture d'humaniste du maître des lieux.
Restauré en 1999, l'hôtel accueille l'Université du temps libre (ECA3).
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