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Saint Georges du Bois est une petite commune située dans un paysage boisé et vallonné, près de Beaufort en Vallée.
Dès 1149, les chanoines Augustins avaient établi un prieuré-cure qui dura 6 siècles.
A la Révolution, le curé Auger accepte de prêter serment sur la constitution et malgré sa retractation en 1799, l'évêque le nommera curé de la paroisse.
L'église se compose de trois parties distinctes
la Nef
le Clocher
le Choeur
le Choeur est du XIIIé
Ambroise de Maillé était l'héritière de la châtellenie de Saint Georges du Bois.
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Le clocher est du XIIé.
Sainte Emérance
Elle était une soeur de lait de Ste-Agnés. D'origine servile, elle fut probablement affranchie par les parents d'Agnés. Elle reçu la même éducation. A la mort d'Agnés, les fidèles prirent l'habitude de se rassembler près de sa tombe. Les païens s'en rendirent compte et lapidérent les fidéles.
Emérance leur reprocha cette cruauté. Elle fut lapidé et rendit son dernier soupir sur le tombeau de Agnés. Les deux cultes sont très liés.
En 1472, Louis XI, chassant près du Plessis Macé, fut pris de coliques, pour être soulagé, il fit un voeu, Sainte Emérance l'exauça et le roi fit construire un bel oratoire.
Depuis
en Anjou on parle des prunes à l'eau de vie que l'on mange en hiver à la Sainte Emérance.
"les prunes de la sainte Emérance enlévent toute génance"
la Nef est du XIé
Autel de la Vierge
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